Il y en a que je possède déjà et d’autres que je rêve d’avoir: voici cinq trucs qui m’obsèdent un peu/beaucoup/passionnément ces jours-ci!
Si les filles de Clueless étaient des fans de Kurt Cobain, ça donnerait Unif. En toute honnêteté, j’ai découvert la marque pensant que c’était super indie pour finalement me rendre compte qu’elle existait depuis 2009 et qu’elle avait plus d’un million d’abonnés sur Instagram. Euh, arrive en ville Jojo!!! Lancée à L.A. par Eric Espinoza, un ancien DJ à Hollywood, et Christina Lai, un blogueuse mode de là-bas, la ligne est rapidement devenue un culte auprès de ses fans. Pourquoi cette veste? Parce que le vert, c’est toujours joli avec les cheveux blonds (ouin, des fois, c’est simple de même) et que sa coupe parfaite assouvit mon mood vintage des derniers mois.
Tricot (gauche) et tricot (droit) par Another A.
Pour être bien franche, je n’ai trouvé aucune information sur cette marque mis à part qu’elle est coréenne et qu’elle est disponible sur Garmentory. Mais bon: quand c’est beau, C’EST BEAU! Ces tricots me donnent envie de me convertir au pumpkin spice latte (ce qui est un gros statement pour une fille 100% fidèle à son americano) et de m’installer devant un feu en écoutant Fleetwood Mac. Comme vous pouvez voir, j’ai pris la liberté d’en mettre deux, parce que des fois, ça ne me tente juste pas de choisir. #IWantItAll
Boucles d’oreilles par LLY Atelier
Je me suis tenue loin des boucles d’oreilles pendant plusieurs années (j’avais l’impression que ça me donnait un air toujours trop adulte/bourgeoise/first lady), mais là, voilà, je suis obsédée. Celles-ci, en argent orné de perles, sont une création d’une joaillière montréalaise que j’adore: LLY Atelier par Agathe Bodineau. Ses modèles sont généralement plus épurés, mais je dois avouer que cette direction plus figurative me fait sérieusement de l’oeil (hahaha). Dans un monde idéal, je les porterais avec les deux tricots mentionnés ci-haut. Reste plus qu’à me procurer une nouvelle carte de crédit pour acheter toutes ces belles choses.
Qu’on le veuille ou non, il fait de plus en plus froid et qui dit «froid», dit mains sèches craquées qui font mal… Mais pas cette fois-ci! Cette crème à mains ultra nourrissante et non graisseuse — genre que tu peux ouvrir un pot de mayo sans problème après l’avoir appliquée — rassemble à peu près toutes mes odeurs préférées: bois de cèdre et de santal, orange, rose et vetiver. La compagnie, qui est née à Parme en Italie il y a plus de 20 ans, s’assure d’utiliser des ingrédients sécuritaires tout en prônant une production basée sur des énergies renouvelable. Pour mes amies montréalaises aux mains de reptile, rendez-vous au Spa William Gray — TOUTE la gamme y est disponible. Dangereux? Je sais.
Sonia Cardinal, la fondatrice de Oneself, semble être une femme très occupée. Et ça adonne que moi aussi. Pourquoi je vous dis ça? Parce que ça doit faire un an qu’on essaie de se rencontrer et que, chaque fois, la vie s’oppose à nos plans. Donc à défaut d’avoir pu lui parler en personne et parce que j’ai envie de partager toute cette beauté qu’elle crée, je vous la présente ici, maintenant. Sa dernière collection est FOLLE FOLLE FOLLE, mais je dois avouer que cette robe moutarde/ocre a une place bien spéciale sur ma bucket list d’automne.
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Ah merci, c’est gentil :) xx